En juin dernier, le gouvernement a mis en place un encadrement juridique des influenceurs et de leurs agents sur les réseaux sociaux mais a également interdit la promotion d’actes de chirurgie et médecine esthétique sur ces plateformes. Objectifs : superviser la publicité et préserver les consommateurs contre des pratiques malveillantes.
Malgré ce grand pas, comme le souligne Jean-Luc Jauffret, président de la Sofcep (Société française des chirurgiens esthétiques plasticiens), c’est aussi aux médecins d’être vigilants : « Nous avons contribué à cette interdiction en allant essayer d’attaquer cette dérive à la source, car les influenceurs s’adressent à un public assez jeune pouvant être candide sur ce sujet. Il faut savoir dire non à une patiente, lorsque ce n’est pas raisonnable. C’est au cas par cas« . En effet, la bataille est, pour l’instant, loin d’être gagnée ! Il faudra plusieurs mois pour évaluer l’impact de cet encadrement juridique.
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