Ayant participé aux débats sur le sujet auprès des instances gouvernementales, le Syndicat National de Médecine Esthétique (SNME) commente le récent décret relatif à la pratique des actes d’épilation à la lumière pulsée et aux lasers :
« Nous nous attendions depuis plusieurs mois à la publication du décret n° 2024-470 relatif aux actes d’épilation à la lumière pulsée intense et au laser à visée non thérapeutique qui est entré en vigueur le 25 mai.
Retardé essentiellement pour des questions juridiques ce décret répond à une transposition du règlement européen relatif aux dispositifs médicaux ...La suite de ce contenu est réservée aux membres de l'AFME.
Pour voir l'article en entier, connectez-vous >