Le tribunal de grande instance de Paris en date du 15 mars 2016, après celui de Lorient (8 décembre 2014) et celui de Nantes (3 décembre 2015) vient une nouvelle fois de conforter sur le plan pénal l’interdiction de l’épilation à la lumière pulsée aux esthéticiennes et à leurs franchiseurs.
La presse s’en est fait largement l’écho y compris dans le journal de TF1 de 13h du 16 mars.
Nous poursuivrons nos actions contre les franchiseurs et vous pouvez y participer. Adhérez à la FSMEA, et lisez la suite…