En Suisse, une esthéticienne (affichant « spécialiste en médecine esthétique » sur sa plaque) avait traité une femme métisse à la lumière intense pulsée. Cette personne avait ensuite présenté des taches foncées hyperpigmentaires dont elle s’était plainte.
L’esthéticienne arguait que sa cliente n’avait pas respecté l’éviction solaire post-traitement IPL.
Au final, le tribunal a condamné l’esthéticienne de lésions par négligence…