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Depuis que les appels vidéo ont pris une place considérable dans notre vie professionnelle et personnelle, cette nouvelle habitude serait à l’origine d’un afflux de demandes de chirurgies esthétiques du visage aux Etats-unis : c’est « l’effet Zoom ».
En effet, lors des visioconférences, on voit son visage avec celui du ou des interlocuteurs, ainsi que nos mimiques. On a alors tendance à se comparer aux autres visages et à leurs expressions. En se voyant, bien plus longuement que dans le miroir de la salle de bain, il est vite arriver de se trouver des défauts, d’autant plus qu’un visage filmé de près, par une caméra de faible qualité est très souvent déformé lorsqu’il apparait à l’écran.
La demande est autant pour les gestes chirurgicaux lourds (liftings, rhinoplasties…) que pour des actes médicaux légers (injections de comblement, peelings, laser…).
Le climat anxiogène régnant actuellement, intensifie peut-être aussi la sensation de mal être, que l’on cherche à améliorer par divers moyens.
