Ernest Grafenberg, gynécologue allemand fût le premier en 1950 à parler du point G. Il a montré l’existence d’un tissu glandulaire péri urétral correspondant au point G.
Cette hypothèse longtemps critiquée a été finalement réhabilitée grâce à des investigations médicales récentes qui ont conclu que 80% des femmes avaient ce tissu. Il serait la clé du plaisir absolu.
Mythe pour certains, réalité anatomique pour d’autres, le point G est surtout à l’origine de beaucoup de préjugés. Les médias et en particulier les magazines féminins ne cessent de lui faire la part belle. Mythe ou réalité, le point G continue de faire fantasmer, d’alimenter le débat et surtout perturber les idées reçues.
LOCALISATION DU POINT G
Différentes études scientifiques ont montré que ce tissu glandulaire péri urétral érectile était situé à la partie antérieure du vagin à 3-4 cm de profondeur, et aurait la taille d’une pièce de monnaie.
En fait ce point G est plus une surface qu’un point, et cette surface est sensible au tact et au frottement. La palpation montre un tissu légèrement rugueux, ayant la forme d’un haricot, et correspondrait à la prostate féminine.
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Note du comité de lecture