Aujourd’hui, il ne viendrait à personne l’idée de contester l’intérêt de la prévention en matière de santé. Elle constitue sûrement l’un des aspects majeurs de la médecine du XXIème siècle et permet de sauver plus de vies humaines que n’importe quelle autre technique médicale.
S’agissant d’esthétique, et jusqu’à un passé récent, la chirurgie constituait le seul recours. Même si son efficacité, ses progrès constants et considérables sont évidemment indiscutables, elle demeure néanmoins un moyen de « l’après », destinée à réparer une disgrâce existante.
A l’opposé, ces dernières années ont vu l’apparition d’une médecine esthétique résolument tournée vers « l’avant », c’est-à-dire la prévention des disgrâces et la lutte contre le vieillissement.
Elle est promue, soyons-en persuadés, à un brillant avenir. Dans le cadre de cette médecine esthétique, l’acupuncture ne manquera pas d’acquérir ses lettres de noblesse, même si, aujourd’hui encore, nous ne faisons qu’entrevoir ses possibilités dans ce domaine.
Le lifting par acupuncture en est une preuve éclatante. Il suffit pour s’en persuader, de voir le nombre d’acupuncteurs qui s’y intéressent.
Je déplore, cependant, le fait qu’ils ne le pratiquent pas toujours selon les règles de l’art, car ils ont négligé cette étape essentielle : LA FORMATION.
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Note du comité de lecture